Ceux qui me suivent régulièrement connaissent mon amour immodéré pour Astrospartus.
Après quasiment onze mois sans plonger, suite au séjour à Guadalupe pour le Grand Requin Blanc, et la longue digestion qui suivit, je retrempais hier mes palmes (et tout le reste) dans les eaux méditerranéennes.
C’est sur l’Ile Plane à Marseille que je goûtais, à nouveau, aux plaisirs de la plongée pépère.
J‘avais averti mes binômes du jour qu’il s’agissait d’une plongée de réadaptation, et que la profondeur n’était pas forcément le but recherché. Je descendrais bien à 30 mètres, et plus loin si je m’en sentais capable, et si l’envie m’en prenait.
Las, dès le premier gorgonocéphale aperçu, les trente mètres étaient dépassés. Mais celui-ci n’était pas là en solitaire. Nous sommes tombés sur un vrai nid d’Astrospartus. Chaque massif de gorgones rouges en supportait un ou deux, voire plus. Et je me suis vite retrouvé à 44 mètres, sur le sable pour tenter un comptage des individus : après vingt, j’ai arrêté !
Malgré un souci avec mon flash déporté, j’ai tout de même pu remonter quelques clichés, livrés ci-dessous.
BLOC-Notes :
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